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les soutiens de Moïse Katumbi saisissent le Conseil d’Etat

Les partisans de Moïse Katumbi ont annoncé vendredi 10 août avoir saisi le Conseil d'État, dans l'espoir de participer au président du 23 décembre prochain. L'opposant congolais en exil s'est retrouvé bloqué à la frontière les 3 et 4 août, ce qui a empêché de déposer sa candidature à temps. Deux requêtes ont été mises en place au bureau du président du Conseil d'Etat jeudi, avant la clôture du dépôt de candidatures à la Céni.

Les soutiens de Moïse Katumbi ont présenté deux demandes , expliquent à RFI Delly Sesanga, secrétaire général de la plateforme Ensemble pour le changement. Une première en référé-liberté, pour que Moïse Katumbi puisse recouvrer sa liberté de venir en République démocratique du Congo »et une seconde en« référé conservatoire »pour le Conseil d'Etat avec la Commission électorale nationale indépendante à« autoriser Moïse Katumbi » à déposer son dossier en vue de l'élection présidentielle.

Alors Que l'en Exil opposant is en Zambia Toujours, d'après des ses partisans, ci-Continuent Ceux d'accusatrice l'Etat Congolais de « Voies de fait » verser « l'empécher de Congo Revenir au ». Ce que le gouvernement dément formellement. Lambert Mendé, ministre de la Communication et de la porte-parole du gouvernement, affirme au contraire que « monsieur Katumbi a raconté les histoires ».

Concerning l'interdiction d'atterrir à Lubumbashi, Lambert Mendé SELON, l'opposant aurait « produit un fac-similé Qui ne contains de réception Aucun accused » D'une lettre à l'Autorité adressee de l'aviation civile « Que personne n « une vue ». Le ministre a également gardé toute la traversée de la frontière: « il n'a à aucun moment traversé la zone neutre pour se présenter à nos agents de la douane ou de l'immigration pour solliciter une entrée en territoire congolais. Mais il a été raconté partout où il a demandé une autorisation d'affichage qui a été refusé, ce qui est faux et qu'on lui a interdit d'entrer dans le territoire congolais, ce qui est faux aussi cas comme dans l '

Le discours de Moïse Katumbi ne ferait que « du pipeau pour dramatiser sa situation, politiser ses ennuis judiciaires et éviter d'avoir à répondre aux problèmes qu'il a avec le procureur général de Lubumbashi », assène le porte-parole du gouvernement.

Plus haute juridiction du pays, le Conseil d'État a été mis en place récemment par le président Joseph Kabila et devrait avoir la charge de trancher dans cette affaire. Pour Delly Sesanga, cette institution « et c'est une première », qui a été créée pour mettre fin à l'abus des autorités publiques , est en position de s'illustrer comme étant le roi des libertés publiques et garant de l'état de droit dans notre pays ».

 

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samedi 20 avril 2024
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