Dans une interview accordée à la radio de la ville de Beni, le lundi 15 octobre 2018, qui a également débuté le massacre à Beni, qui a été président de la société civile de cette ville. Monusco.
Pour lui, 20 ans durant, le Monusco ne parvient pas à maîtriser la situation sécuritaire à Beni ville et territoire.
»Comment expliquer les rebelles tuent à grande échelle les civils, en présence d'éléments FARDC et de la MONUSCO bien outillés? », S'est demandé Bin Hangi, avant ajouté:« trop c'est trop. »
Pour rappel, le lundi 15 octobre 2018, la ville de Beni commémore le début du massacre à NGADI perpétré le 15 octobre 2014.
4 ans après, l'identité des assaillants n'est toujours pas connue, sur parlerait des rebelles ADF, hypothèse qui ne convainc pas la population.
Cependant, les rencontres entre les autorités de ville, les représentants des syndicats d'enseignants et de Monusco, ainsi que la reprise des activités scolaires, d'un accouché d'une souris.
Ces derniers se sont rendus sur leur décision de fermer les écoles, jusqu'à ce que la paix soit totalement restaurée, soit comme retour, soit comme retour des notables dans la commune de Ruwenzori, soit jusqu'à la sécurisation de toutes les écoles de cette commune.
La rentrée académique dans les Instituts supérieurs et les universités s'est vue également repoussée de deux semaines.
After, after the conference of 23 députés nationaux, on a attendu, on attend en ville, afin de rendre compte de la situation sur place, un savoir-faire à la presse, le maire de la ville de Beni Bwanakawa Masumbuko Nyonyi.
Bantou Kapanza Son
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